Ce papier est bien loin de faire l’apologie de la robe. En effet, si la robe garde une image d’élégance et d’objet de séduction, elle n’en est pas moins un objet de tromperie que la femme utilise pour manipuler l’homme naïf.
Arrivée à un âge où ses formes sont moins rebondies ou même plus jeune après une période de laisser-aller, Madame a une forte tendance à laisser tomber le pantalon ajusté pour passer à une robe flottante dissimulant des formes qui le sont tout autant. Messieurs, gardez votre sang-froid et ne vous laissez pas berner. La robe est bien souvent un cheval de Troyes qui dissimule adroitement l’arrière train d’un cheval de traie. Le subterfuge est idéal : des jambes fines, un regard aguicheur, une coiffure soignée, et on se retrouve sans même s’en rendre compte face à la disproportion due au manque d’exercice.
Attention cependant à ne pas développer une paranoïa exacerbée à la vue d’une robe bien portée. Sous chaque vêtement ne se trouve pas un enfer adipeux. Une simple précaution est suffisante ; ne diabolisons pas la robe, elle est depuis toujours un gage de féminité et de bon goût.

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